Si la Chine connait une croissance très élevée (10 % en 2010), elle reste d’une taille un peu moins de 3 fois plus petite que l’Europe. Au total – en dehors des périodes de récession – la Chine, l’Europe et les Etats-Unis ont en ce moment une contribution équivalente à la progression de la richesse mondiale. L’impact de la Grèce est marginal : si elle connaissait une croissance de -100%, celà ne réduirait la croissance européenne que de 1,8 points, et la croissance mondiale de 0,5 points.
A plus long terme, la Chine prendra évidemment la tête du peloton, et finira par dépasser en taille comme en croissance…