Au vu de ces données la protection des personnes les plus à risque est une nécessité. En revanche pour les autres catégories les risques de décès dans une hypothèse haute de crise covid (65.000 décès, qui correspondrait à une situation avec peu de mesures sanitaires) sont inférieurs à d’autres risques communément acceptés ou sur lesquels les dépenses de prévention sont infiniment plus faibles que les 250 milliards qui seront consacrées au confinement.
Pire, le confinement va augmenter certains de ces décès : la réduction des actions de préventions ou le traitement tardif de certaines pathologies durant la crise covid (cancer, accidents cardio-vasculaire,…) coûtera plus de décès sur certaines classes d’âge que le confinement ne permettra d’en éviter.
#deconfinement selectif #prevention #luttercontretouteslespathologiesmortelles